Sur les traces des chasseurs d’internet de Cotonou
Au Bénin, les jeunes s’adonnent à une chasse aux points wifi non sécurisés, pour contourner les prestations onéreuses des fournisseurs d’accès à internet.
A Zongo, un quartier populeux et réputé pour sa brocante bien sélectionnée, l’affluence n’est pas moindre. Tous les jours, du matin au soir, on y voit des fans. « Si vous m’avez aperçu ici à Zongo, ce n’est pas un hasard. Je suis un habitué des "venus de France" », se félicite Florentin (nom changé), un restaurateur. Visiblement, c’est une mode de s'adonner à la brocante. La plupart des acheteurs et vendeurs misent surtout sur le coût, qu’ils estiment moindre et la qualité des produits.
Du matin au soir, tous les jours : enfants, jeunes, adultes, femmes et hommes attendent devant la baraque bleue dans l’espoir de voir la batterie de leur portable chargée. « La baraque bleue nous sauve ; nous qui n’avons pas le courant électrique dans nos domiciles.
Juste après la petite pluie de ce 05 novembre, toute la ville de Cotonou succombe à l’eau. A Gbégamey, un des quartiers populaires de la ville, la situation est pénible pour certains et dans le même temps, profite à d’autres. Le résumé en 6 photos. 1- Gbégamey, un quartier populaire de la ville de Cotonou, a connu la pénible inondation juste après la pluie matinale de ce 5 novembre…
Peur au ventre, arme en main, tête ailleurs, 140 soldats béninois s'apprêtent pour Kidal. La crise malienne, à son stade, réclame-t-elle toujours des soldats ? Tout compte fait, Kidal ne s’est pas encore débarrassée de tous ces hommes appelés pour le maintien de la paix. L’objectif semble se poursuivre surtout lorsque le Bénin s’apprête à envoyer 140 autres hommes formés pour la cause. Mi-septembre 2013, le quatrième peloton du camp Guézo à Cotonou est pris pour base. Au total, 140 soldats béninois y logent.